Hier en ruines, le siège de l’Institut Géographique du Congo (IGC) à Kisangani a pris un coup de jeune. Relevant de la tutelle du Ministère de la Recherche scientifique et innovation technologique, cet important outil scientifique va désormais fonctionner dans des installations inspirantes grâce au Ministre José Mpanda Kabangu qui, en plus des moyens qui ne manquaient pas, a apporté la touche de son sens de l’initiative.
C’est, en effet, avec le même quota de moins de 1% de part budgétaire national alloué à la Recherche scientifique et innovation technologique que Me José Mpanda vient d’ajouter cette œuvre au tableau de ses réalisations dans le cadre de la viabilisation de tous les centres et instituts de recherche sous sa tutelle.
En plus de la rénovation du bâtiment qui l’abrite, l’IGC/Kisangani va également récupérer son espace spolié par des tiers. Et en exécution d’une décision du Conseil des ministres du 18 mars 2022, cet espace va, toujours à l’initiative du Ministre José Mpanda être ouvert au partenariat public-privé (PPP) en vue de sa modernisation. L’idée est, en effet, d’y ériger des immeubles qui vont profiter aux agents.
Avant l’IGC/Kisangani, le Ministre de la recherche scientifique avait déjà l’Institut de recherche en sciences de santé (IRSS) à Kinshasa dans sa ligne de mire. L’hôpital Mabanga de Yolo, qui relève de cette structure, est déjà en train d’être démoli en vue de l’érection d’un immeuble de trois niveaux grâce au concours financier de la Fondation Denis Nyakeru Tshisekedi.
Ce nouveau bâtiment abritera l’hôpital pour lui permettre de fonctionner dans de bien meilleures conditions au profit des malades anémiques.
Toujours sous la houlette de José Mpanda, les travaux d’érection de l’Immeuble de trois niveaux du Conseil national pour la protection contre les rayonnements ionisants (CNPRI) à Funa évolue avec satisfaction. Idem pour le Centre de recherches géologiques (CRG) dont les travaux de construction d’un immeuble de trois niveaux avancent bien sur le site de l’Université de Kinshasa.
Toujours par la stratégie du partenariat public privé, le Centre de recherche en sciences humaines (CRESH/Kinshasa), le Centre de recherche agro-alimentaire (CRAA/Lubumbashi), le Centre de recherche en sciences naturelles (CRSN/Lwiro), le Centre de recherche en hydrobiologie (CRH/Uvira) et bien d’autres sites de l’Institut national pour l’étude et la recherche agronomiques (INERA) subissent des travaux de rénovation et de modernisation.
JEK
