Dans une déclaration datée du 12 janvier 2024, le Centre d’Etudes et de Promotion de l’Action Sociale (CEPAS) exprime son indignation sur les allégations d’une réunion subversive que des politiciens auraient tenues dans ses installations en date du 4 janvier. Son Directeur général et rédacteur en chef de la célèbre revue « Congo Afrique » fait savoir que le 4 janvier étant férié, les installations de son institution étaient fermées et n’ont donc abrité aucune activité.
Le CEPAS invite les instances de régulation et d’autorégulation du secteur des médias pour « recadrer dans les meilleurs délais » son auteur.
Tout en faisant remarquer que « l’heure n’est pas aux discours susceptibles de provoquer une psychose infondée dans les têtes des paisibles citoyens », son DG estime qu’on « ne construit pas une nation dans l’incitation – même voilée – à la haine gratuite » et réfute ces « propos malveillants tendant (…) à l’associer à un quelconque complot contre la République ».