Dans sa bataille pour défendre son honneur face à la campagne de diffamation menée contre lui par certaines Ong, Dan Gertler ne se démonte pas et est déterminer à se battre jusqu’au bout. Le 17 mars 2023, il a renu la dragée haute aux Ongs The Sentry, CNPAV et leurs alliés en répondant à leur correspondance tendant à coti nuer à soutenir leur ligne de communication basée sur la diffamation et le refus de transparence et la diffamation.
Droit dans ses botes et maître de ses idées er sa vision, Gertler tient son élément pour recadrer ses interlocuteurs épistolaires qui, de lettre en lettre s’embourbe dans l’antithèse de la transparence pour laquelle ils prétendent militer.
Rappelant ses précédentes correspondances en soulignant la clarté qui les caractérisait, Dan Gertler constate, à l’intention de ces Ongs dans sa lettre du 17 mars, qu’ils ont toujours refusé une confrontation directe malgré ses multiples invitations à la clarification. « En dépit des nombreuses années de votre plaidoyer contre moi et mes intérêts commerciaux, je vous ai invité à une table ronde afin que je puisse partager avec vous, sur une base transparente et collaborative, tous les documents, matériels et calculs que vous pourriez souhaiter voir concernant mes activités commerciales en RDC», Leur fait-il observer.
Dans cette démarche, le patron de Ventora se veut également clair et précis en fixant les contours du débat censé s’articuler sur la possibilité d’examiner ses transactions passées en toute transparence et ouverture.
Prenant le contrepied de The Sentry, CNPAV et leurs alliés qui ont refusé de répondre à son invitation, se privant ainsi de l’occasion de trouver des réponses à leurs préoccupations, Dan Gertler se veut rassurant quant à la sincérité et l’ouverture de son offre dénué de tout préalable. Il rassure, en effet qu’il n’a jamais été dans ses intentions d’étouffer la société civile dans son travail, même s’il a systématiquement leurs allégations par le passé.
Très à cheval sur sa volonté de pertinence et son intrépidité dans sa lettre sous examen, Dan Gertler soumet à ses pourfendeurs une série de remarques pertinentes. Il relève, par exemple, leur tendance très prononcée à la diffamation et leur penchant pour la violation de la Loi à son encontre. «En effet, contrairement à votre position, la majorité des groupes de la société civile en RDC soutiennent aujourd’hui le règlement. Tout en soutenant généralement le travail de la société civile, on ne peut pas attendre de moi que j’encourage ou que je défende la liberté d’expression sous le couvert d’une société civile qui est diffamatoire à mon égard et à mon détriment personnel immédiat et qui, à l’occasion, a enfreint la loi», note-t-il avant de relever certains points à l’attention de certains acteurs bien identifiés de la Société civile.
Là où ces Ongs évoque les actifs que son entreprise « restituera », Dan Gertler répond : « Veuillez noter que tous les actifs ont été restitués rapidement après la signature du règlement. Le processus de transfert, y compris toutes les données relatives aux actifs et tous les matériels et logiciels nécessaires à l’utilisation de ces données, a été effectué au cours des mois de mars et avril 2022 ».
Il rappelle également qu’un expert international indépendant de niveau 1 avait évalué les actifs restitués. Cette évaluation permet aux ONGs de comprendre que la valeur estimée de Usd 2 milliards d’actifs et de liquidités restitués à la RDC est une estimation prudente. Dan Gertler précise également que la RDC avait vérifié et audité le montant des coûts qu’elle doit restituer à Ventora. Ce montant peut être entièrement étayé par des preuves documentaires.
Il souligne que cette somme n’a pas encore été versé par la RDC qui a déjà reçu les actifs depuis près de 12 mois.
«Avec le rapport d’évaluation de niveau 1 mentionné ci-dessus, il s’agit d’un exemple de documents dont vous aurez connaissance lors de la table ronde à laquelle je vous ai invité», assure Dan Gartler qui garantit encore une fois que ni lui, ni aucune société du groupe Ventora, et moins encore une autre personne ou entité liée à sa personne ou dans laquelle sa famille et lui sont bénéficiaires, n’ont d’intérêt dans un quelconque actif, permis, licence ou projet minier, ou encore de ressources naturelles en RDC, sauf les trois redevances passives restantes dont la Société civile a déjà eu connaissance.
Enfin, dans le souci de dissiper tout doute et garantir que leur travail n’a pas pour but de mentir sur Dan Gertler et son groupe, ces ONGs réfractaires à l’Accord conclu et signé avec le gouvernement ont intérêt, au nom de la transparence, à accéder à l’offre leur faite.
JEK
